Télécharger en format PDFLe 28 avril est la journée mondiale de santé au travail. C’est un jour de deuil pour les proches des victimes tombées au front de l’emploi.
Les maladies d’origine professionnelle sont encore responsables, selon les estimations, de 2,4 millions de décès dans le monde chaque année, dont 200 000 en Europe(1).
En France, le nombre d’accidents du travail est reparti à la hausse en 2017 et la gravité caractérisée par le nombre de jours d’arrêts de travail est, elle en constante augmentation depuis 2006.
Quant au nombre de décès il a luis aussi augmenté pour le régime général pour passer de 514 à 530. A ces décès, il faut bien sûr ajouter ceux recensés par la MSA, les régimes spéciaux et bien entendu ceux survenus aux agents titulaires des trois fonctions publiques.
Quant aux maladies professionnelles, certes leur nombre diminue mais il s’agit de maladies référencées dans des tableaux et ces chiffres sont loin de représenter l’intégralité des maladies liées au travail.
Il est évident que la santé au travail est très loin d’être une préoccupation pour nombre de dirigeants et force est de le reconnaître, pour la grande majorité des salariés. Et pourtant les chiffres sont là et les textes règlementaires aussi.
Alors posons-nous la question :
Que peut-on faire pour améliorer notre santé et notre sécurité au travail ?
Perdre quelques secondes voire quelques minutes peut permettre de sauver des vies alors changeons nos comportements et posons-nous les bonnes questions.
Pour aller plus loin
Vous pouvez consulter le site de l’OIT.
Vous pouvez consulter le site de l’agence européenne de santé au travail.
Vous pouvez vous renseigner auprès de nous sur les solutions que nous proposons pour améliorer la santé au travail dans votre entreprise par le biais de notre formulaire de contact.
(1)Source Agence Européenne de Santé au Travail (https://osha.europa.eu/fr/themes/work-related-diseases)
